La randonnée du 12 mars en images...

C'est sous un soleil resplendissant que s'est déroulée sur le territoire d'Accolay, charmant village de l'Yonne, la randonnée de la Maison des Jumelages et de la Francophonie, sous la direction de François - qui a distillé ses précieuses explications tout au long du parcours - et guidée par Joël, sans qui personne n'aurait retrouvé son chemin au travers des bois. Qu'ils soient ici encore remerciés de leur participation active au succès de cette manifestation fort sympathique.

Découvrir les cabanes se mérite car elles sont pour la plupart bien cachées dans les broussailles ou les bois, à l'écart des chemins balisés, sur un terrain très caillouteux, ce qui permet également de les protéger de la randonnée de masse et de les préserver.  En effet, en marchant par inadvertance sur le toit d'une cabane camouflée dans la nature, on peut la dégrader trés rapidement. Les cabanes font partie de notre patrimoine  et il convient ici de féliciter les associations qui s'activent à les restaurer. Ce travail minutieux d'empilage de pierres sèches provenant des meurgers peut s'avérer fastidueux.

La trentaine de randonneurs présents a visiblement apprécié la balade et le pot amical à l'arrivée qui a clôturé de façon conviviale la matinée ensoleillée.

Retrouvez toutes les photos dans l'album photo n°8 ci-contre.

Si vous n'étiez pas présent à la randonnée, vous pouvez consulter le texte joint en cliquant sur le lien :

les_meurgers

Quant à l'orthographe du mot meurger, voici, selon un extrait du site "Wikipédia", ce qu'on peut en dire :

Historiquement, l'emploi du terme a connu une large extension géographique Il se rencontre (ou se rencontrait) du Bassin parisien à l'Est, à la Bourgogne, mais aussi en Poitou. Il a de multiples variantes : meurgé, meurgée, meurger, merger, murgé, murget, murgée, murgie, murgier, murgerot, mourzy, meurzère. Il est resté en usage surtout dans les lieux où la culture de la vigne, autrefois universelle, s'est conservée, et spécialement en Bourgogne ; ailleurs il ne perdure que dans la toponymie.